La messe noire est dite
Par ROD, vendredi 19 juin 2009 à 16:36 :: HARDCORE :: #494 :: rss
Soit t'es né avec une bite, et tu n'es utile que si tu te comportes comme une bite bien dure qui bourre des trous. Soit t'es né avec un trou et tu n'seras utile que si tu t'fais bien bourrer. Mais dans les deux cas t'es tout seul...
Une décennie d'attente pour entendre encore Philippe Nahon dégueuler sa haine, est-ce bien raisonnable ? De toute façon, comme KICKBACK aime à le répéter : This for us, this is not for you. Un film en collaboration avec Gaspard Noé serait plus luxuriant, car c'était difficile de faire aussi extrême que "Les 150 passions meurtrières". Après l'hommage à Sade, la pointance des références est plus exacerbée ici. George Bataille, l'obscur écrivain transgressif du 20ème siècle, est porté en gourou.
Je le répéterai sur tous les tons, le monde n'est habitable qu'à la condition que rien n'y soit respecté.
Dans la tradition blasphématoire du surréalisme, "No Surrender" (GSR) est un hymne à la cruauté, à la saleté et à la dépravation. Beaucoup plus appuyé qu'avant. Dans la texture sonore comme dans la présentation. Pierre Drieu La Rochelle, Ernst Jünger ou le plus contemporain Antoine D'Agata viennent renforcer le souhait de purification par chaos total et la descente aux abysses rêvées par KICKBACK. Rituels sataniques et imagerie sadique viennent compléter ce festin de vermines. N'oublie pas ce qui fut, ce qui sera, chair sans péché, monde sans fin ! Peu importe la musique puisque l'age de Kali est là. (Signé Jean-Raude Brialy)
Une décennie d'attente pour entendre encore Philippe Nahon dégueuler sa haine, est-ce bien raisonnable ? De toute façon, comme KICKBACK aime à le répéter : This for us, this is not for you. Un film en collaboration avec Gaspard Noé serait plus luxuriant, car c'était difficile de faire aussi extrême que "Les 150 passions meurtrières". Après l'hommage à Sade, la pointance des références est plus exacerbée ici. George Bataille, l'obscur écrivain transgressif du 20ème siècle, est porté en gourou.
Je le répéterai sur tous les tons, le monde n'est habitable qu'à la condition que rien n'y soit respecté.
Dans la tradition blasphématoire du surréalisme, "No Surrender" (GSR) est un hymne à la cruauté, à la saleté et à la dépravation. Beaucoup plus appuyé qu'avant. Dans la texture sonore comme dans la présentation. Pierre Drieu La Rochelle, Ernst Jünger ou le plus contemporain Antoine D'Agata viennent renforcer le souhait de purification par chaos total et la descente aux abysses rêvées par KICKBACK. Rituels sataniques et imagerie sadique viennent compléter ce festin de vermines. N'oublie pas ce qui fut, ce qui sera, chair sans péché, monde sans fin ! Peu importe la musique puisque l'age de Kali est là. (Signé Jean-Raude Brialy)
KICKBACK - The law of the self
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