Fluoglacial - Tendances Négatives

LE FANTÔME DE LA LIBERTÉ (1974)

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Point culminant de la filmographie de Luis Bunuel, LE FANTÔME emboite le pas du décapant CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE. Même affiche loufoque et même principe, une succession de scènes plus ou moins absurdes où toutes les lois sociales et morales sont distordues et inversées. VIDÉO 1. Le temps se dérègle et la chambre de Jean-Claude Brialy se transforme en haut lieu de passage. VIDÉO 2. Les dîners n'ont plus lieu sur des chaises de salon mais sur des cuvettes, l'invité désirant manger est prié de se rendre dans la petite pièce au fond du couloir. VIDÉO 3. La scène finale du film met un tireur d'élite à l'honneur qui dégomme à loisir du dernier étage de la tour Montparnasse. Condamné à la peine de mort après son procès, il sera remis en liberté. S-U-R-R-E-A-L-I-S-M-E.



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Commentaires

1. Le jeudi 14 octobre 2010 à 11:51, par Jean de toilette

Ouais ouais ouais... il a fait du bon boulot bunuel, mais dans la réalité ça change quoi? des chinois qui nous font un restaurant où tu poses ton cul sur des chiottes pour manger un beignet de morue dans un bac à pieds sales??
Donc bunuel précurseur de l'internationalisme chinois?
non, parce que le bonhomme n'était pas jaune, mais vert, comme une jolie poignée de beuh!! A méditer donc

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