Dans le Concile des Démons...
Par ROD, lundi 26 janvier 2009 à 20:10 :: HARDCORE :: #355 :: rss
"Ephemeral subsistence", c'est le nom de l'ouvrage d'UNREAL CITY, enfin sorti. Dû à l'incompétence de DOUBLE OR NOTHING records, je l'ai reçu avec 2 mois de retard. Ces 5 types de Pittsburgh n'en ont rien à battre d'Obama et ont bien raison. Le ciel de Pennsylvanie est noir et le restera. Après deux excellentes démos en 2006, livraison de 6 nouvelles pièces et 6 anciens tubes, destinés aux désaxés.
Nothing is real, poisoned mind, in a prison of madness I wait confined
Bien que directement influencé par INTEGRITY, IN COLD BLOOD, et l'empire de Cleveland, UC est le genre de groupe à plutôt reprendre NOTHING SACRED, obscur groupe metal Australien, que BLACK FLAG. Leur DEMO II contenait déjà les versions finales de Altus Proditio et In the council of demons, morceaux clés du disque. En revanche, As all else pourtant très bon, est absent.
How could I grow into something so sick
Chant malade nourri d'étonnantes intonations, textes hantés, parfois chuchotés pour mieux rappeler le DÉMON, riffs cinglants, maitrise totale des solos. Pas de doute gamin, l'infection Holy Terror les a rongé jusqu'à la moelle. Le mot DOOM ne doit pas simplement représenter un logo sur un patch pour eux.
This world means nothing, our time together is nothing, in the end this life... amounts to nothing.
Introgrity part.I sur War in heaven. Descends ton Dieu de son trône, les apôtres du Christian-core vont se décomposer à la lecture de Synthesis of paranoia qui diabolise les origines bibliques de la création. La succession des breaks et du mid-tempo peut sembler un peu poussive mais leur temps imparti sur Terre comme sur disque (30mn) étant compté, tout passe.
Shed everything that you know, unlearn society's plans
Introgrity part.II, In the council of demons et son acoustique divine te pénètre. Visions d'un gigantesque moshpit, bain de chair, queues fourchues et rires sataniques, la puissante bande son de la scène finale de SOCIETY est ici. Le complot est mis à nu sur Altus proditio, puis Swine et son Introgrity part.III nous conduit doucement vers la fin, Beyond reality. Enregistré par Alain Douches, dessiné par Stephen Kasner et imaginé par des cerveaux visiblement malades, demandes-toi si tu mérites ce disque.
Nothing is real, poisoned mind, in a prison of madness I wait confined
Bien que directement influencé par INTEGRITY, IN COLD BLOOD, et l'empire de Cleveland, UC est le genre de groupe à plutôt reprendre NOTHING SACRED, obscur groupe metal Australien, que BLACK FLAG. Leur DEMO II contenait déjà les versions finales de Altus Proditio et In the council of demons, morceaux clés du disque. En revanche, As all else pourtant très bon, est absent.
How could I grow into something so sick
Chant malade nourri d'étonnantes intonations, textes hantés, parfois chuchotés pour mieux rappeler le DÉMON, riffs cinglants, maitrise totale des solos. Pas de doute gamin, l'infection Holy Terror les a rongé jusqu'à la moelle. Le mot DOOM ne doit pas simplement représenter un logo sur un patch pour eux.
This world means nothing, our time together is nothing, in the end this life... amounts to nothing.
Introgrity part.I sur War in heaven. Descends ton Dieu de son trône, les apôtres du Christian-core vont se décomposer à la lecture de Synthesis of paranoia qui diabolise les origines bibliques de la création. La succession des breaks et du mid-tempo peut sembler un peu poussive mais leur temps imparti sur Terre comme sur disque (30mn) étant compté, tout passe.
Shed everything that you know, unlearn society's plans
Introgrity part.II, In the council of demons et son acoustique divine te pénètre. Visions d'un gigantesque moshpit, bain de chair, queues fourchues et rires sataniques, la puissante bande son de la scène finale de SOCIETY est ici. Le complot est mis à nu sur Altus proditio, puis Swine et son Introgrity part.III nous conduit doucement vers la fin, Beyond reality. Enregistré par Alain Douches, dessiné par Stephen Kasner et imaginé par des cerveaux visiblement malades, demandes-toi si tu mérites ce disque.
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